Profitant d'une fenêtre météo, toute l'équipe du Jardin botanique est mise à contribution pour rentrer les plantes en pot dans l'orangerie avant l'arrivée du froid. Crédit : Catherine Schröder / Unistra
« Dans l'orangerie, c'est un peu la crise du logement », sourit Frédéric Tournay, le responsable des collections du Jardin botanique. Crédit : Catherine Schröder / Unistra
Il faut donc une organisation au cordeau pour faire rentrer tout le monde ! Crédit : Catherine Schröder / Unistra
« Les cactus ont été rentrés les premiers, puis les plantes des plus grandes au plus petites », décrivent Amandine Viprey et Hugo Blumentritt, qui pilotent l'opération. Crédit : Catherine Schröder / Unistra
Une taille de certains végétaux, qui ont bien grandi pendant les beaux jours, est nécessaire. Crédit : Catherine Schröder / Unistra
Certaines plantes aquatiques, « aussi sensibles au gel que des salades », sont également rentrées à l'abri. Crédit : Catherine Schröder / Unistra
Elles serviront aux travaux pratiques des étudiants en botanique au printemps prochain. Crédit : Catherine Schröder / Unistra
Sur les parcelles de l'école de botanique réaménagées au printemps, la végétation a repris ses droits. Crédit : Alexandre Tatay
Une fois les feuilles tombées, celles-ci vont être utilisées pour pailler les végétaux les plus fragiles, de type méditerranéen (grenadier, bananier, figuier) - même si Frédéric Tournay note que les températures hivernales sont de moins en moins froides.Crédit : Catherine Schröder / Unistra
Frédéric Tournay profite des belles journées du début de l'automne pour rempoter les plantes des milieux arides situées dans la galerie de l'orangerie. Crédit : Catherine Schröder / Unistra
Une quinzaine de jours ont été nécessaires pour effectuer tous les rempotages, avec le renfort d'une stagiaire. Crédit : Catherine Schröder / Unistra
Plantes-cailloux, euphorbes... Le jardin botanique possède 350 espèces, parmi les plus étonnantes. Crédit : Catherine Schröder / Unistra
Les graines, plantées dans un mélange drainant de sable et de gravier, mettent plusieurs années à germer et croitre. Crédit : Catherine Schröder / Unistra
Originaires de l'hémisphère sud, certaines plantes fleurissent en automne et en hiver. Crédit : Catherine Schröder / Unistra
L'automne, c'est aussi la saison de la préparation des graines pour le catalogue du Jardin botanique. Crédit : Catherine Schröder / Unistra
Pour des raisons sanitaires, notamment pour l'envoi vers certains pays, il faut éliminer les poussières et résidus entourant les graines. C'est ce à quoi s'attache Céline Froissart pendant la période automnale, à l'aide de tamis de différentes tailles. Crédit : Catherine Schröder / Unistra
D'un côté, les graines charnues, « qu'il faut éviter de faire moisir »... Crédit : Catherine Schröder / Unistra
... de l'autre, les graines que l'on peut se contenter de faire sécher. Crédit : Catherine Schröder / Unistra
Le catalogue de graines, riche de 200 à 300 références, sera édité en janvier/février, les commandes passées et reçues entre jardins botaniques du globe... le recommencement d’un nouveau cycle ! Crédit : Catherine Schröder / Unistra
Le catalogue de graines, riche de 200 à 300 références, sera édité en janvier/février, les commandes passées et reçues entre jardins botaniques du globe... le recommencement d’un nouveau cycle ! Crédit : Catherine Schröder / Unistra
Sous la végétation de la treille type chèvre-feuille couvent les courges. Crédit : Alexandre Tatay