L’œuvre Low Space Oddity : Rayogrammes numériques, de Lionel Bayol-Themines, dans le hall du Patio.
Date de publication : 13/05/2022
Par Catherine Schröder
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En images | « Supplementary Elements », visite au gré des œuvres

Vous avez jusqu’au 22 mai pour découvrir les œuvres de 17 œuvres présentées sur le campus Esplanade. L’exposition Supplementary Elements fait dialoguer arts, sciences et société, en réunissant chercheurs et plasticiens pour des créations originales. La résidence artistique mêle images scientifiques issues de la recherche et de l’enseignement à la production plastique.

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      <h1><a href="https://savoirs.unistra.fr/campus/supplementary-elements-ou-quand-le-laser-catalyse-le-dialogue-entre-lartiste-et-le-physicien-1" title="En images | « Supplementary Elements », visite au gré des œuvres">En images | « Supplementary Elements », visite au gré des œuvres</a></h1> <p>Vous avez jusqu’au 22 mai pour découvrir les œuvres de 17 œuvres présentées sur le campus Esplanade. L’exposition Supplementary Elements fait dialoguer arts, sciences et société, en réunissant chercheurs et plasticiens pour des créations originales. La résidence artistique mêle images scientifiques issues de la recherche et de l’enseignement à la production plastique.</p> <a href="https://savoirs.unistra.fr/campus/supplementary-elements-ou-quand-le-laser-catalyse-le-dialogue-entre-lartiste-et-le-physicien-1" title="En images | « Supplementary Elements », visite au gré des œuvres"><img width="400px" src="https://savoirs.unistra.fr/fileadmin/upload/Savoirs/Campus/SE_diaporama_Low_Space_Oddity_Lionel_Bayol-Themines.jpg" /></a> <br /><br /><p><a href="https://savoirs.unistra.fr/">Savoir(s) | Le quotidien de l'Université de Strasbourg</a></p>

Ce parcours d’œuvres, à voir et parfois à écouter de jour et de nuit, se déploie en plein air sur les façades du campus central autant qu’à l’intérieur des bâtiments du Patio, de la Maison interuniversitaire des sciences de l’homme-Alsace (Misha), du Collège doctoral européen ou du Palais universitaire.

Une initiative du Service universitaire de l’action culturelle (Suac), conseillé par Émeline Emeline Dufrennoy, débutée en 2018. Elle s’appuie sur les nouveaux outils numériques offerts aussi bien par la recherche que par les collections historiques de l'université.

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