« L’université recrute dans toute une diversité de métiers »
« OUI aux métiers où l’on s’épanOUIt ! » : c’est avec ce slogan que l’Université de Strasbourg communique pour attirer les candidats et participants à sa 2e Journée de découverte des métiers, le 13 mai au Palais universitaire. Car non, il n’y a pas que des postes d’enseignement à l’université. Mais toute une diversité de 200 métiers, parmi lesquels les finances, les ressources humaines, le numérique... Trois questions à Brigitte Grosse, directrice des ressources humaines (DRH) et Isabelle Froussart, responsable du département de la gestion et développement des compétences à la DRH.
Quelles sont les nouveautés de la 2e Journée de découverte des métiers, qui se tiendra le 13 mai prochain ?
Brigitte Grosse : Par rapport à l’année dernière, nous avons mis l’accent sur le job dating : des entretiens sont organisés avec les candidats, auparavant inscrits en ligne, sur place le jour J. La quarantaine de créneaux ouverts est déjà complète, et nous en conservons pour les candidats qui se présenteront spontanément.
Les horaires ont aussi été réduits, de 10 h à 18 h (9 h 30-19 h auparavant), pour mieux s’adapter aux flux de visiteurs observés lors de la précédente édition.
Isabelle Froussart : Les stands qui ont le mieux fonctionné l’an dernier ont été renforcés, c’est-à-dire celui renseignant sur les modalités de recrutement (contrats et concours) et celui dédié aux métiers en soutien et appui à la recherche. Nous avons en revanche abandonné l’idée de présenter via des stands la qualité de vie au travail offerte à l’Unistra : nous le ferons plutôt savoir via les écrans installés dans l’aula, et des flyers.
Nous avons aussi communiqué davantage vers l’extérieur sur la Journée, notamment via l’affichage, pour attirer des profils variés de candidats.
Qui prend part à l’organisation de cette journée ?
I. F. : Une soixantaine d’ambassadeurs métiers et recruteurs sont mobilisés. Les ambassadeurs métiers seront en binôme, la plupart sur des créneaux de deux heures, mais certains ont tenu à rester la journée ; la majorité des ambassadeurs revient après une première expérience, l’année dernière. Cela montre leur motivation et leur enthousiasme à parler de leur métier et à le faire connaître.
Ils représentent toute la diversité de postes et de métiers où des besoins existent : RH, soutien et appui à la recherche, finances, numérique, scolarité, mais aussi enseignement, etc. sur des postes principalement en catégories A et B (gestionnaires de scolarité, de finances, chargé·e de projet), mais aussi en C pour des métiers comme opérateur logistique.
B. G. : Les ambassadeurs métiers nous ont fait part de l’intérêt que ce genre d’événement inédit représente pour eux, pour se rencontrer et échanger.
Quels arguments l’université met en avant pour attirer les candidats ?
B. G. : L’université déploie de nombreuses activités culturelles et sportives à travers le Service pour la promotion de l’action sociale (Spacs) dans sa Maison des personnels ; un cadre de travail agréable avec son beau campus vert ; une souplesse dans l'organisation du travail, avec trois modalités de télétravail ; un forfait mobilités durables ; un nombre conséquent de jours de congés ; des possibilités d’évolution de carrière mais également de formation, au travers de l’école des cadres : autant d’arguments en faveur d’une politique axée sur la qualité de vie et des conditions de travail.
Nous serons heureux si nous dépassons la jauge atteinte l’année dernière, de 300 visiteurs. Un résultat qui était déjà satisfaisant pour une première édition !
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