Au boulot à vélo : « La régularité plutôt que la performance »
Le challenge Au boulot à vélo revient cette année pour une 16e édition, du 1er au 30 juin. L’objectif ? Encourager l’usage du vélo durant les trajets domicile-travail, dans une ambiance ludique et collective. Catherine Schröder, photographe pour la Direction de la communication de l’université, et Alix Melison, assistante de formation bilingue au Centre d’études internationales de la propriété intellectuelle (Ceipi), toutes deux participantes à cette édition, vous partagent leur ressenti.
« Pas d’objectif kilométrique, mais un objectif de régularité »
Arrivée en septembre dernier au sein du Centre d’études internationales de la propriété intellectuelle (Ceipi), c’est la première fois qu’Alix participe au challenge.
J’ai choisi de privilégier le vélo pour mes déplacements vers le travail car c’est un moyen écoresponsable. Cela me permet de pratiquer une activité sportive régulière, tout en évitant de devoir prendre le tram aux heures de pointe.
En moyenne, elle réalise un peu plus de 5 km à vélo par jour.
Ce challenge me permet de maintenir une activité physique régulière malgré les phases de rush qui peuvent être très présentes dans mon métier d’assistante de formation. Ce challenge valorise le déplacement de ceux qui utilisent le vélo tout au long de l’année, mais aussi l’activité du “cycliste du dimanche”. Il est d’autant plus agréable à réaliser à ce moment de l’année, où l'été pointe le bout de son nez !
Alix participe au challenge avec l'équipe du Ceipi. Toutefois, elle n’a pas d’objectif kilométrique, mais un objectif de régularité qu’elle compte bien atteindre.
« Le vélo, c’est la liberté ! »
Dans le cadre de son activité de photographe, Catherine privilégie la mobilité douce que propose le vélo pour ses déplacements professionnels.
En plus d’être une activité physique régulière, la pratique du vélo me permet également de déplacer plus facilement mon matériel. Je peux être amenée à réaliser jusqu'à cinq à six déplacements dans la journée. En fait, le vélo, c’est la liberté : on se déplace bien plus facilement, et on évite les bouchons ! De plus, il est aussi bien plus facile de se déplacer à vélo… et de se garer.
En effet, les campus sont pourvus de nombreux espaces dédiés.
Adepte du challenge « Au boulot à vélo » chaque année depuis la première édition, en 2016, Catherine l'affirme : le vélo est une mobilité qu’il faut défendre.
Je n’ai pas d’objectif à atteindre, si ce n’est d’allier une action citoyenne à mon travail. A travers ce challenge, j’aimerais montrer que la Direction de la communication participe activement à la mise en avant de cette mobilité douce.
- Pour participer au challenge, retrouvez les modalités d'inscription sur Ernest.
Anthony Guay et Guillaume Saucy, magasiniers-livreurs, assurent les livraisons sur les campus de l’Esplanade, historique et médecine à vélo
Pour assurer les livraisons, le magasin de chimie se déplaçait jusqu'à présent uniquement en voitures à moteur diesel.
Pleinement engagés en faveur de l’environnement, la Faculté de chimie et son magasin souhaitent progressivement remplacer leurs deux véhicules diesel par un moyen de déplacement plus écoresponsable : c'est pourquoi ils ont récemment acquis un vélo cargo pour leurs livraisons. L'idée est de privilégier les livraisons à vélo, et de limiter l’utilisation de la voiture aux seuls produits chimiques et bouteilles de gaz volumineuses et lourdes. Avec une envergure de 5,70 mètres, une capacité de charge de 80 kg sur le vélo et de 200 kg avec la remorque, les vélos cargo présentent de nombreuses qualités, dont la principale est une livraison bien plus rapide au sein du campus.
Pour Jonathan Riff, responsable adjoint du magasin de chimie, une participation de son équipe au challenge Au boulot à vélo est parfaitement envisageable, après une période d’adaptation jugée suffisante avec ces nouveaux vélos
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